08 décembre 2014

Sandwichs et critiques

Les critiques du Voleur de sandwichs sont plutôt très bonnes. Pour un livre jeunesse, nous sommes vraiment gâtés. Voici ce qu'on en dit:
- Fabien Deglise dans Le Devoir
« ... Sans prétention, mais avec habileté, une jolie narration et surtout un sens aigu de l’esthétisme, Patrick Doyon au crayon et André Marois au texte signent avec cette histoire de voleur un récit ludique efficace et bien ficelé où, bien sûr, les apparences sont trompeuses et où les évidences peuvent en cacher d’autres. C’est raffiné comme un sandwich aux légumes grillés avec humus de lentilles orange, et surtout, ça n’a finalement pas d’âge pour être consommé.»
- Lili les merveilles
«Un sandwich exquis volé impunément? Un voleur gourmet et récidiviste? Quand la gastronomie est en péril, rien n’arrête Marin, le chef déterminé de la Brigade des Boîtes à Lunch. André Marois tricote habilement une enquête aux mille et une saveurs, d’une plume à la verve coquine, multipliant joyeusement les entourloupes pour le plus grand bonheur du lecteur. Porté par la palette contrastée, les traits simples et expressifs, et la composition éloquente de l’univers visuel de Patrick Doyon, cet opus haletant et cocasse ravira sans conteste. À dévorer goulûment…»
- Jessica Émond-Ferrat dans le journal Métro
«... un croisement de BD et de roman jeunesse dans lequel un garçon tente de retracer le malfrat de son école qui vole les délicieux sandwichs que sa maman lui concocte chaque jour. Les textes d’André Marois sont punchés, les dessins, vivants et très drôles. À dévorer avec un sandwich à la mayonnaise maison sur du pain d’épeautre, de préférence!»
- La crème de novembre de la librairie Monet: 
« Drôle et un brin impertinent, ce roman nous plonge totalement dans l’univers scolaire d’un jeune garçon affamé. Malin et débrouillard, notre héros va d’abord se débrouiller seul jusqu’au moment où la situation devient trop dure à gérer. ( 3 sandwichs volés finissent par perturber les humeurs, la concentration et l’estomac… surtout l’estomac !) Les parents vont se montrer aussi débrouillards et malins que leur fils pour attraper le voleur. L’histoire au goût d’enquête saupoudrée d’humour, parle, mine de rien, de l’importance d’une bonne alimentation. Les illustrations vivantes et dynamiques sont juste parfaites pour ce récit plein d’émotions et de mayonnaise. » (A. P.)
- Artv: 
«Marin s’est fait voler son sandwich. Et pas n’importe lequel, son préféré : le jambon-cheddar-laitue! Voilà que le jour suivant, l’histoire se répète. Mais qui peut bien lui voler son dîner? Ce roman graphique est un polar très rigolo qui captivera les jeunes lecteurs (et probablement leurs parents!)»
- La Marelle Mag: «... Le voleurs de sandwichs est une véritable enquête policière écrite sur mesure - et avec humour - pour les minots par André Marois, qui a déjà signé plusieurs romans policiers pour les enfants. On le lit avec gourmandise grâce aux illustrations de Patrick Doyon, dont on connait déjà les talents de réalisateur (son film Dimanche a été nominé aux Oscars).
Le trait simple et énergique, la maîtrise des jeux d'ombre et de lumière et l'impression en quadrichomie donnent un relief particilièrement vif aux illustrations. Patrick Doyon a le chic pour traiter avec une infinie tendresse le quotidien et c'est grâce aux nombreux petits détails du dessin qu'on entre de plein pied dans l'univers à la fois très actuel et un rien nostalgique du petit Marin.
Bref, c'est drôle, c'est malin et c'est très beau !»
- La Presse +  

- La revue Les Libraires: 
«... Le voleur de sandwichs est l’œuvre de Patrick Doyon, dont le court métrage d’animation Dimanche a été en nomination aux Oscar en 2012, et d’André
Marois, bien connu pour ses polars. Ils joignent ici leur talent respectif afin de nous raconter l’histoire intrigante de Marin, qui se fait voler chaque midi le délicieux sandwich confectionné par sa mère. L’enquête du jeune garçon est menée avec humour et conviendra aux petits comme aux plus grands. À voir! Dès 8 ans Audrey Martel L’Exèdre (Trois-Rivières)»
 

05 décembre 2014

Pas de droits, pas de chocolat

Suite aux deux billets que j'ai publiés ici au sujet de la faillite de la Courte échelle, la revue Les Libraires m'a proposé d'écrire une lettre ouverte pour donner mon point de vue et raconter mon expérience.

Le papier sort aujourd'hui dans le magazine que vous pouvez télécharger ici. Ou trouver la version papier gratuite dans une libraire indépendante.

Je l'avais mis à jour mardi dernier. Les événements se sont enchainés et nous avons appris aujourd'hui que la La courte échelle était officiellement rachetée et continuait sa route. Alleluia!