22 octobre 2013

Comment j'ai écrit 10 ans, pas méchant

La couverture du 1er livre a été refaite.
Au début, il y a la novella 9 ans, pas peur, surgie du néant. Je sais toujours d’où viennent chacune de mes histoires, courtes ou longues. Celle-ci est l’exception qui confirme la règle.
J’ai eu beaucoup de bons commentaires de lecteurs concernant ce livre et ça m’a donné envie d’écrire un deuxième volet à ce cycle qui deviendra probablement une trilogie.
 
Pour 10 ans, pas méchant, j’ai gardé un narrateur enfant, mais celui-ci est différent du Angélito de 9 ans, pas peur. Et je sais précisément d’où m’est venue l’inspiration.
Ce que l’enfant raconte au début est un souvenir personnel. J’ai eu ce geste violent quand j’étais gamin et je ne me le suis jamais expliqué. Ça aura au moins servi à quelque chose...
Pour le reste du récit, j’ai pioché dans d’autres moments vécus de ma jeunesse, revus à ma manière. Grand bonheur d’écriture et direction littéraire réalisée par Grégory Lemay.

Voici le 4e de couverture :
Le garçon a dix ans, une mère et une petite soeur. Des copains, aussi. Il s’amuse bien, comme il dit. Son père est mort sur un chantier de construction et le fils se demande si ses mauvaises blagues y sont pour quelque chose. Et puis, il y a Luigi, l’ami de son père, qui rend trop souvent visite à sa mère. Le garçon ne l’aime pas. Quelle méchanceté pourrait-il inventer pour l’éloigner ?

André Marois a puisé dans ses souvenirs d’enfance pour raconter cette histoire d’où il ne sort pas grandi. Après la candeur du jeune héros de 9 ans, pas peur, la malice de cette histoire très noire surprend comme un retour de bâton vraiment pas gentil.

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