01 mars 2010

Autres critiques

Une nouvelles série de bonnes critiques pour SA PROPRE MORT.

Dans le magazine Voir, Chrsitine Fortier écrit «André Marois navigue adroitement dans les eaux troubles qui séparent la soif de vengeance et la nécessité de trouver la paix. Un roman noir qui frappe.»

Sur Critique-Livre, Michel s'entousiasme pour mon roman: «Alors là, attention, gros gros coup de cœur. Tout y est. D’abord la langue, de celle qui nous fait penser qu’Audiard est Québécois et que Montaigne gagna la coupe Stanley. J’aime la tristesse, la langueur du début, j’aime ce sourire qu’on suppose aux commissures de Marois quand il joue de la mécanique, qu’il tâte du gun, j’adore ses mots précis, pesés. Ensuite, l’histoire de cette femme qu’on comprend en équilibre entre un Paris qu’on suppose décadent et un Montréal qu’on sait pourri.
On hésite à chercher où se trouve le purgatoire, peut-être dans la vengeance froide, mais alors il n’offre que l’enfer, virtuel bien entendu. Enfin le rythme. Celui d’un polar moderne que je vois bien un jour scénarisé. Cette douce Clara est un warrior, une poétesse désenchantée qui agit pour survivre et nous offrir une grande leçon de chose: sans l’âme qu’on se construit, rien de mérite de survivre, avec cette fausse âme que le monde du Net se construit, rien, là non plus, ne doit subsister. Bravo Monsieur Marois, vous rendez un beau service à votre éditeur. C’est donc mon coup de cœur 2010, mais nous ne sommes qu’en février.»

Le papier est en reprise sur le post.fr

J'ai été l'invité de l'émission Rencontre du troisième titre, sur la radio CIBL (on peut l'écouter en cliquant sur le lien).
Sarrah Osama parle de «Réflexion sur la vengeance, sur notre usage d’Internet et sur l’espace public et privé, Sa propre mort est un roman haletant.»

Sur Planète Québec, Louise Turgeon a souligné «La plume aiguisée, crue et efficace d’André Marois. Son humour noir qui perce l’atmosphère tendue du récit.
. Une héroïne atypique, aussi fragile et tourmentée que froide et calculatrice. On suit avec un intérêt constant la progression de son instinct de prédatrice, la mise en place de son éclatante vengeance.
. Un récit bien ficelé, une tension dramatique qui nous tient en haleine, jusqu’à la dernière page.»

Que du bonbon pour moi...

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